Fin de ramadan à Blida
L’élan de solidarité envers les pauvres durant les nuits du ramadan en Algérie, pourra-t-il se poursuivre ?
Nadia, une jeune artiste qui a grandi en comptant ses points. A lire absolument.
L’élan de solidarité envers les pauvres durant les nuits du ramadan en Algérie, pourra-t-il se poursuivre ?
Etrange comment une ville comme Mostaganem en Algérie ne daigne pas veiller le soir, préférant fermer boutiques et restaurants avant la tombée de la nuit. Ne veut-elle pas des touristes ? Ville côtière, surplombant une large bande du littoral algérien, Mostaganem semble se parfaire dans une léthargie que peu d’Algériens lui connaissent. Au cours d’une visite en ces belles journées finissantes du mois de mars, l’étonnement est à son comble…
La Moudjahida, -« maquisarde », « résistante »- de la première heure, Annie Fiorio-Steiner est passée par Blida ce samedi 22 novembre 2014 pour évoquer des souvenirs et revoir le lycée où elle avait fait ses études secondaires avant le déclenchement de la guerre d’Algérie en 1954. Elle avait côtoyé d’illustres héros tels Ali Boumendjel, Abane Ramdane, Benyoucef Benkhedda, Sadek Hadjeres, M’hammed Yazid,… Comble de l’ironie : on lui refusera…
Plein sud, juste après les débuts de terre ocre, terre sèche, dénudée, loin des montagnes vertes du Titteri, c’est Laghouat. On dit que c’est la porte du désert mais la population locale parle plus de porte vers les Nord, signifiant que les Laghouatis ont la tête tournée vers la mer lointaine, la grande bleue. Pour arriver à la ville, il faut passer par Djelfa et ses moutons, l’alfa qu’on récoltait…